la maison du Patah Eliyahou
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                            FLASH  INFOS   –   les éditions colboבס »ד                                                                      Mars 2014                     Adar II 5774

LES   EDITIONS COLBO – 4, rue Sainte-Cécile 75009 PARIS – www.editionscolbo.com

Nouvelles de nos éditions

VIENT DE PARAITRE

PATAH ELIYAHOU GÉANT 2e édition :

La première édition de cet ouvrage étant épuisée depuis deux ans, nous avons le plaisir de vous annoncer que ce titre est à nouveau disponible :

1 volume similicuir, papier ivoire, couverture : gaufrage + titre OR. 1 tranche dorée, sous jaquette rhodoïd. Format : 22 x 30 cm.

Version MARRON (Code 028M/13).                     Prix public TTC : 87,00 €

Version BLANC moiré (Code 028B/13).                 Prix public TTC : 92,00 €

ABRÉGÉ DU CHOUL’HANE AROUKH :

Nouvelle réimpression.

2 volumes similicuir sous étui assorti.

                                 (Code 165/12/B).                      Prix public TTC : 70,00 €

Mise en vente : à partir du 21 mars 2014.

 

                          FLASH  INFOS   –   les éditions colboבס »ד                                          Février 2014                     Adar I 5774
                                               (Suite à notre Flash-Infos d’octobre 2013)

 

LES   EDITIONS COLBO – 4, rue Sainte-Cécile 75009 PARIS – www.editionscolbo.com

Dernière minute (décembre 2013) :

Le siddour « Maguen Avot » que nous persistons à mettre en cause depuis sa parution (cf. notre Flash-Infos de décembre 2011 et suivants) : CE FEUILLETON REPREND DE PLUS BELLE !

RÉPLIQUE À « UNE LETTRE OUVERTE »

Des amis nous ont transmis récemment ce qu’ils ont reçu dans leur boîte mail, de la part des Éditions Zmanim-Diffusion : « Lettre ouverte à M. J. Charbit, auteur (sic)[1] du PATAH ELIYAHOU » (5 pages). Cf leur site Internet dans lequel M. Patrice Hagège יהי »ב (« auteur » (sic)[2] du siddour « Maguen Avot ») se lance à nouveau dans un réquisitoire à l’encontre des Éditions Colbo : encore un tissu d’allégations mensongères, d’altérations de la vérité ![3]


Dans la même semaine, nous avons reçu une lettre de l’avocat de Zmanim-Diffusion, dans laquelle il nous menace de poursuites judiciaires si nous ne cessons pas immédiatement nos « agissements déloyaux et belliqueux ».

CE QUE LES ÉDITIONS ZMANIM-DIFFUSION

NE VEULENT PAS SAVOIR

  1. Patrice Hagège יהי »בpersiste à faire croire que si nous nous élevons contre « son » siddour, c’est dans une intention belliqueuse (par peur d’un nouveau « concurrent[4]» et manque de loyauté, comme le pense aussi son avocat. Rien n’est plus faux !

Résumons-nous : Pour leur siddour « Maguen Avot », les éditions Zmanim-Diffusion ne veulent pas admettre qu’il ne suffit pas de choisir de jolis caractères imprimés sur des feuilles de papier glacé pour en faire un siddour acceptable ! Un livre est jugé surtout sur le sérieux de son contenu. Si M. Patrice Hagège יהי »ב prenait l’initiative d’expurger son siddour de ses lourdes fautes (de Halakha, de mixture inacceptable de versions (noussa’h) et de minhaguim : un « cocktail » inédit, que l’on peut qualifier de « mé’orav yerouchalmi » ! [Suivant la terminologie en langage gastronomique d’Israël…)], les Éditions Colbo n’auraient plus aucune raison de partir en guerre contre « son » siddour !

De ces fautes graves, l’équipe de Zmanim-Diffusion a été clairement confondue lors de l’audience au Beth-Din, du 7 mai 2012. Cette audience a eu lieu à la suite de la plainte déposée par les éditions Zmanim-Diffusion contre les éditions Colbo, pour « diffamation ». Lors de cette audience, le Beth-Din a explicitement débouté le plaignant (cf. le psaq-din sur nos sites). Ce qui veut dire que nos critiques contre ce siddour sont bien fondées. Sans parler du manifeste des quatre Dayanim où le siddour « Maguen Avot » a été condamné à la gueniza !

C’est pourquoi nous nous sommes permis d’écrire à des rabbins qui ont accordé leur Approbation au siddour « Maguen Avot », leur exprimant notre étonnement.

Voici, à ce propos, ce que nous écrit, le 6 décembre 2013, l’avocat de Zmanim-Diffusion :

« Force est de constater que vos griefs contre le siddour Maguen Avot ne sont justifiés que par vos seules allégations, et que nonobstant votre campagne intensive pour tenter de le dénigrer, cet ouvrage a reçu le soutien unanime des plus grandes autorités rabbiniques parmi lesquelles le Rav Ron Chaya et le Rav Chlomo Aviner. »

Manifestement, l’éditeur Zmanim-Diffusion a omis de signaler à son avocat que justement, ces deux « grandes autorités rabbiniques », Rav Ron Chaya et Rav Chlomo Aviner avaient retiré leur Approbation au siddour « Maguen Avot » ! Ce qui justifie le bien-fondé de nos « allégations » !

EN GUISE DE CONCLUSION

Nous avons écrit également à M. le Grand Rabbin d’Israël, Rav Ytshaq Yossef נר »ו lui exprimant notre étonnement pour l’Approbation qu’il a accordée à ce siddour. Évidemment, nous attendons sa réponse. S’il nous confirme qu’il a accordé cette Approbation en toute connaissance de cause, à savoir malgré les erreurs dont nous lui avons fourni une liste (non exhaustive), et surtout malgré la condamnation de ce siddour à la gueniza par les quatre Dayanim, nous conclurons alors qu’il s’agit là d’une ma’hloket haposquim. Et là, nous arrêterons pour notre part de polémiquer sur ce siddour.

Pour les Éditions Colbo,

  1. Charbit

FLASH–INFOS. LES EDITIONS COLBO. Janvier 2014.                               www.editionscolbo.com  

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[1] Nous sommes vraiment confus de cette qualité : « Auteur » du Patah Eliyahou, que M. Patrice Hagège יהי »ב nous attribue : D’un siddour, on ne peut être que l’éditeur ! Car comment peut-on se qualifier « auteur » d’un siddour, usurpant ainsi leurs droits littéraires aux véritables « auteurs » : Anché Kenesset Haguedola !?

[2] « Auteur » (sic). C’est ainsi que se présente toujours M. Patrice Hagège יהי »בsur son site et sur ses correspondances. Effectivement, lui seul peut se targuer d’être l’ « Auteur » de ce siddour, qui contient des innovations concoctées de son propre cru, ce qui en fait une œuvre « originale » : « Son » siddour !

[3] Nous possédons une « exégèse » complète, apportant la contradiction à tout ce qu’affirment les Éditions Zmanim-Diffusion sur leur site : « Droit de réponse aux 4 Dayanim », « Droit de réponse à Actu-J », « Lettre ouverte à M. J. Charbit », etc. Et ce, sur chacune des phrases. Mais, fidèles à notre ligne de conduite (cf notre Flash-Infos de février 2013) nous ne répliquerons pas en détail sur le web car M. Patrice Hagège יהי »בà le chic de rebondir avec de nouvelles allégations mensongères et altérations de la vérité. De plus, si nous sommes confrontés un jour aux éditions Zmanim-Diffusion dans l’enceinte d’une juridiction quelconque (comme ils nous en menacent), ce sera, pour nous, la meilleure tribune pour leur apporter la contradiction en produisant des documents contractuels, des copies d’échanges de lettres… Il appartiendra alors aux magistrats de trancher !

Ici, nous en donnerons un seul exemple : la manière tendancieuse dont il présente la sentence du Beth-Din de mai 2012 et dont il communique volontiers la copie du Psaq-Din :

  1. a) Il prend néanmoins l’initiative d’y ressortir en rouge la phrase: « propos diffamatoire dont a été victime le siddour « Maguen Avot »  » : le public doit surtout retenir, n’est-ce pas, qu’il y a eu diffamation!? Et qu’il est victime !

Omission : En lisant le psaq-din, on constate cependant que M. P. Hagègeיהי »ב occulte tout simplement que le Beth-Din l’a débouté de sa plainte ! Ce qui veut dire tout simplement que les propos des Éditions Colbo contre le siddour « Maguen Avot », ne constituent pas une diffamation, puisque les fautes dénoncées sont des fautes lourdes bien existantes !

Mais, qu’importe à M. Patrice Hagège יהי »ב . « Un mensonge, répété trois fois devient une vérité ! » Et plus c’est gros, plus ça passe ! Réseaux Internet aidant !…

  1. b) De plus, en ce qui concerne l’engagement des deux parties de ne plus se critiquer en public, (sans accord d’un Beth Din), M. P. Hagègeיהי »ב ignore tout simplement que ce même Beth-Din nous a déliés de cet engagement, dans sa sentence du 15 janvier 2013 ! Et que c’est bien avec l’accord écrit de ce Beth-Din que nous publions ce Flash-Infos.

[4] Sur votre demande, nous pouvons vous adresser un document qui contredit cette assertion.

                             FLASH  INFOS   –   les éditions colboבס »ד              

                                   Numéro spécial                

                                               Octobre 2013               Hechvan  5773

                                   LES EDITIONS   COLBO – 4, rue Sainte-Cécile 75009 PARIS – www.editionscolbo.com

MISE EN GARDE destinée aux Grands Rabbins, Rabbins, Responsables de Synagogue, Librairies juives ainsi qu’au public juif de France :

UN SIDDOUR INACCEPTABLE

par UN ÉDITEUR IRRESPONSABLE

Il s’agit du Siddour « Maguen Avot » (1ère édition : Août 2011, 2e édition : Janvier 2012) publié par les éditions Zmanim Diffusion à Alfortville.

Dès sa publication en août 2011, nous avons dénoncé publiquement ce siddour hybride[1]. Après nous, quatre Dayanim ont eux aussi, condamné ce siddour, en exigeant de l’enfouir dans une Gueniza. (cf. leur « Kol Koré » dans notre site.) Rien n’y fait : M. Patrice Mordéhaï Hagègeיהי »ב , « l’auteur (sic) » de ce siddour, (comme il se présente lui-même), persiste et signe : il use de tous les moyens pour imposer son siddour à la communauté juive de France. À présent, il a commencé une grande campagne de courriers[2], sollicitant des Rabbanim pour obtenir leurs Haskamoth. (Nous y revenons plus loin). Nous nous devons toutefois de vous relater l’historique de cette triste affaire :

Historique :

Depuis 2009 : nous avons eu maille à partir avec les Éditions Zmanim-Diffusion. À la suite de notre plainte, pour copie illicite de pages de notre « Patah Eliyahou » sur leurs calendriers, le Beth-Din (4 juin 2009), a condamné les Éditions Zmanim-Diffusion[3] à verser 1 euro symbolique aux Éditions Colbo, à ne plus reproduire ces pages et à ne plus dénigrer les horaires du Patah Eliyahou, ni sur leurs calendriers, ni sur leur site internet. Ce psaq-din comportait en outre un engagement des deux parties à ne plus se critiquer mutuellement en public, sauf autorisation du Beth-Din[4]. Pour les détails de nos relations avec ces éditeurs peu scrupuleux, vous pouvez vous reporter au supplément à notre Flash-Infos de Février 2013-Adar 5773, sur notre site[5].

                                      Un siddour inacceptable

Septembre 2011 : Nous apprenons que les Éditions Zmanim-Diffusion ont publié en août 2011, un siddour : « Maguen Avot ». L’ayant consulté, nous y avons trouvé des fautes grossières, des incohérences et des initiatives irresponsables : mélanges de versions sefarades (Afrique du Nord) et Adot Hamizrah (Communautés du Moyen-Orient). Ceci dans un même paragraphe et parfois même dans une même phrase. Véritable « cocktail » de rites différents, composé à l’initiative personnelle de l’éditeur, une première mondiale ! Fautes lourdes comme page 241 de l’édition Août 2011 (Yaalé Veyavo), mise des Tefiline en page 10 (1ère édition) et page 16 (2e édition)[6]. Aussitôt, en Décembre 2011, nous avons publié un Flash-Infos (5) dans lequel nous dénoncions ce siddour hybride qui, à notre sens est un « non-siddour ». Comme le souligne le Grand Rabbin du Canada, Rav David Sabbah נר »ו , ce siddour, dans son état actuel (Éditions Août 2011 et Janvier 2012), ne peut être utilisé ni par les Sefarades ni par les Adoth Hamizra’h.

Quatre Dayanim condamnent le siddour « Maguen Avot »

En août 2012, le Dayan Rav Yihia Teboul נר »ו de Lyon, découvrant ce siddour, écrit à l’éditeur, disant que ce siddour n’est pas à vendre tant qu’il comporte de si graves erreurs. L’éditeur Zmanim-Diffusion lui répond qu’il a corrigé ces fautes et qu’il a procédé à une deuxième édition en janvier 2012[7]. Le Dayan, constatant que cette deuxième édition comporte toujours des fautes innombrables, enjoint de nouveau à l’éditeur de retirer ce siddour de la vente, de rappeler tous les siddours vendus et de mettre toute la production à la Gueniza !

S’apercevant que l’éditeur n’obtempérait pas, le Dayan Rav Y. Teboulנר »ו , se joint à trois autres Dayanim : Rav M. Hamou נר »ו de Paris, Rav A. Abrahamנר »ו de Jérusalem et Rav David Sabbahנר »ו , Grand Rabbin du Canada, pour publier un manifeste (Kol Koré) (5), condamnant l’éditeur à mettre son siddour « Maguen Avot » à la Gueniza.

La « vengeance » des Éditions Zmanim-Diffusion

Par dépit, les éditions Zmanim-Diffusion, faisant fi des injonctions de ces quatre Dayanim, publient sur leur site leur « Droit de réponse à l’Appel signé par 4 Rabbanim » : un tissu de mensonges, d’insinuations malveillantes. M. Hagègeיהי »ב entreprend alors des initiatives incontrôlées, dans le désordre :

  • Au lieu d’enfouir ses siddours dans une Gueniza, il écrit (12 décembre 2012) aux Communautés (voir leur site) (5) : «OPERATION GUENIZA ! Echangez gratuitement vos vieux Siddourim contre les Maguen Avot neufs !… »

‘Houtspa : un pied de nez à la décision des Dayanim !

  • Le 8 décembre 12, sur son site (5) il annonce à ses correspondants : « L’équipe de ZMANIM DIFFUSION est heureuse de vous annoncer le positionnement (sic) de 4 nouveaux rabbanim concernant notre siddour MAGUEN AVOT. Que le (sic) lumière de ‘Hanouka leur soit favorable ! »

Il a fait suivre cette annonce des seules quatre signatures (copié-collé, tirées de leur manifeste) des Dayanim respectables, sans évidemment mentionner leur sentence où ils vouent son siddour aux gémonies et faisant croire ainsi qu’il a reçu 4 approbations supplémentaires à son siddour ! Et l’insolence en plus ! Y a-t-il plus grande effronterie ?

Le code pénal connaît cela : usurpation et détournement de signatures à des fins subversives ! Faux et usage de Faux !

  • Quant aux Dayanim Rav M. Hamouנר »ו et Rav A. Abraham נר »ו : il les accuse d’avoir agi par parti pris en faveur des Éditions Colbo ! L’un pour avoir donné un jour raison aux Éditions Colbo dans l’affaire du siddour-pirate « Kol Hanechama » (5), et l’autre pour avoir publié chez ce même éditeur un texte marginal dans son Abrégé du Choul’hane Aroukh[8].
  •  

Quid de Rav Y. Teboulנר »ו et du Grand Rabbin David Sabbah נר »ו ? M. Hagège יהי »בnous le révèlera peut-être un de ces jours !

  • Peu de temps après, les Éditions Zmanim-Diffusion[9] envoient par courriels un texte (anonyme !…) diffamant le Patah Eliyahou et, au nom d’un Beth-Din fantôme de Jérusalem condamnent notre siddour, en empruntant au mot par mot, le texte des 4 Dayanim par lequel ceux-ci condamnaient leur siddour Maguen Avot ! (Voir « Actu-J. » n° 1242 et n° 1245 (5) qu’il accuse aussi de parti pris.)

Cerise sur le gâteau : M. Hagègeיהי »ב vient d’obtenir (septembre 13) l’Approbation de Rav Yitshak Yossef נר »ו : Nous en sommes plus que surpris ! De deux choses l’une :

  1. a) ou bien, l’éditeur Zmanim-Diffusion lui a caché que ce livre, non seulement a fait l’objet de critiques, dans l’enceinte d’un Beth-Din (mai 2012) (5), mais a été aussi condamné à la Gueniza par 4 Dayanim,
  1. b) ou bien, Rav Yitshak Yossefנר »ו était au fait de ces critiques mais leur a accordé son Approbation à condition qu’ils fassent corriger[10] leur siddour Maguen Avot pour une troisième édition expurgée des nombreuses erreurs. Nous ignorons à ce jour s’il leur a permis de vendre et d’offrir, comme ils le font, les deux premières éditions dans leur état actuel !…

Dans cette Approbation, il est stipulé :

« De plus, certaines communautés orientales et séfarades qui pouvaient avoir une coutume un peu différente en dehors d’Israël, dès lors qu’elles arriveront en terre sainte, celles-ci devront s’habituer à prier en tout point dans le texte selon l’antique tradition établie depuis toujours en Israël. »

En tout état de cause, il ressort, à la lecture attentive de cette Approbation, que CE SIDDOUR « MAGUEN AVOT » N’EST PAS DESTINÉ AUX COMMUNAUTÉS SEFARADES DE FRANCE MÊME S’IL EST PARFAITEMENT CORRIGÉ, mais plutôt aux habitants d’Erets-Israël, sefarades comme Adoth Hamizrah.

Pour conclure, nous avons tenu à alerter le grand public sur cette création hybride (de surcroît bourrée de fautes) et sur les agissements tendancieux de cet éditeur afin que chacun prenne ses responsabilités vis-à-vis de ce siddour Maguen Avot. Nous aurons ainsi fait notre devoir de simple juif fidèle aux minhaguim de ses ancêtres et par là soulagé notre conscience

        ואנחנו, את נפשנו הצלנו!

 

Josio Charbit.

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IL N’Y FAUT TOUCHER [aux lois]

QUE D’UNE MAIN TREMBLANTE

Montesquieu. Lettres persanes (79)

Un siddour n’est pas un roman qu’on met de côté après l’avoir lu ; le siddour accompagne le juif, à tous les moments de sa vie.

Si nous avons été si attentifs à reproduire scrupuleusement le texte de Téfilat Hahodech, c’est non seulement parce que depuis des siècles nous avons prié de cette façon en Afrique du Nord mais aussi parce que nous revendiquons זכות אבותינו, le mérite de nos ancêtres qui ont prononcé leurs prières au libellé identique. Les mots ont été pensés, pesés et même débattus avant d’être adoptés.

Qui aujourd’hui aurait la hardiesse d’y porter la main ?

Le siddour est un patrimoine destiné à être transmis de génération en génération. Quel homme sensé oserait composer un rituel de son cru sans commettre un véritable sacrilège ?

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[1] On sait qu’aujourd’hui, à l’aide de l’ordinateur, il est très facile de copier et coller soi-même n’importe quel texte, sans même comprendre l’hébreu ! Et, en grappillant des textes par-ci par-là, en faire une « composition » nouvelle, à sa fantaisie !

[2] Voici un extrait de leur « demande d’approbation » : « Après avoir déjà reçu le soutien de nombreux rabbanim dont le Rav Itshak Yossef chalita, nous serions très honorés d’insérer votre approbation dans notre siddour Maguen Avot dont la troisième édition sort très prochainement… ». Le plus souvent, sans joindre un spécimen de leur siddour. Et pour cause !

[3] L’équipe de Zmanim-Diffusion : MM. Patrice Hagègeיהי »ב , Yehouda Benchimolיהי »ב et Stéphane David Attalיהי »ב .

[4] Mais, par son psaq-din du 15 janvier 2013 (5) le Beth-Din nous libère aujourd’hui de cet engagement. Ce psaq-din nous a été délivré après le refus des Éditions Zmanim-Diffusion de se présenter à l’audience du Beth-Din, à la suite de notre plainte contre cet éditeur pour « copillage » servile de 12 pages de notre siddour, ainsi que pour avoir calqué jusqu’au ridicule la pagination du Patah Eliyahou, faisant croire au public que leur siddour n’est qu’une nouvelle version du « Patah Eliyahou ». De plus, contrairement à l’usage, M. Hagège יהי »ב a refusé d’indiquer un autre Beth-Din devant lequel il accepterait de se présenter !

[5] Tous les documents cités dans ce « Flash-Infos » peuvent vous être expédiés sur demande.

[6] Concernant la Bénédiction להניח תפילין avant de mettre le Téfiline du bras, qu’ils ont ainsi imprimée (édition 2011 et édition 2012) : « On dira la bénédiction suivante להניה תפילין avant de nouer les Téfiline sur les doigts, mais après les avoir attachées au biceps… » Vous avez bien compris : la bénédiction pour le Téfiline du bras ne se dira en fait qu’après avoir mis le Téfiline de la tête !

[7] En guise de corrections, l’éditeur en a fait moins d’une dizaine !.. et grâce à notre Flash-Infos de Décembre 2011, dans lequel nous avions signalé quelques-unes des erreurs avec la mention des pages ! Sur près de 200 fautes et incohérences, relevées par un Talmid ‘hakham, dans la seule première moitié de ce siddour !

[8] Que n’avait-il pas alors demandé au très regretté Maître Rav Ovadia Yossef זי »ע (dont il s’auto recommande tant dans son siddour) son avis sur ces 2 Dayanim qu’il connaissait personnellement. Il lui aurait confirmé que ces deux personnalités respectables et droites sont incapables d’avoir un parti pris.

[9] M. P. Hagègeיהי »ב se défend, sur son site, d’être l’initiateur de cette calomnie. Nous voulons bien le croire, mais nous avons aujourd’hui la preuve que c’est de son entourage que cette diffamation « anonyme » est partie. M. P. Hagège יהי »בpousse son outrecuidance jusqu’à suggérer sournoisement que ce message diffamatoire a été concocté par les Éditions Colbo elles-mêmes aux fins de publicité, et par peur de la concurrence ! « Preuve » à l’appui ! Comme si on ignorait que n’importe quel informaticien amateur peut bidouiller et faire croire ce qu’il veut ! (Au sujet de notre position vis-à-vis de la concurrence, veuillez vous reporter au supplément de notre Flash-Infos de décembre 2011 : nous y faisions remarquer que nous ne nous sommes jamais élevés contre la douzaine de siddourim parus après le Patah Eliyahou, émules de celui-ci, et que nous considérons comme des concurrents normaux.)

[10] Nous disons bien « qu’ils fassent corriger » et non « de corriger », car ces éditeurs ayant prouvé leur ignorance des nouss’haoth et des minhaguim, les 4 Dayanim ont préconisé fermement que ce siddour devait être entièrement révisé par des talmidei-‘hakhamim, experts en ce domaine.

FLASH–INFOS. LES EDITIONS COLBO. Octobre 2013.                                      www.editionscolbo.com

                           FLASH  INFOS  –   les éditions colboבס »ד                                                                   Février  2013                     Adar  5773

                                   LES EDITIONS   COLBO – 4, rue Sainte-Cécile 75009 PARIS – www.editionscolbo.com

                

NOUVELLES DE L’ÉDITION

LA TVA SUR LE LIVRE : changement de taux.

À partir du 1er janvier 2013, la TVA sur le prix du livre passe à 5,5 % au lieu de 7 %. Notre nouvelle liste de prix tenant compte de ce nouveau taux peut être consultée sur notre site. Nous y indiquons le prix hors TVA et le prix TVA incluse.

NOS RÉÉDITIONS : Plusieurs ouvrages épuisés depuis quelques mois sont à nouveau disponibles :

PATAH ELIYAHOU POCHE : Édition remaniée

Broché : Gris ou Bleu :                                                                                                    Prix TTC : 12,00 €

De Luxe : reliure similicuir Bleu, Brun ou Blanc : 3 tranches or,                             Prix TTC : 26,00 €

PATAH ELIYAHOU PHONÉTIQUE :

Cartonné :                                                                                                                          Prix TTC : 27,00 €

De Luxe similicuir Vert ou Rouge : 3 tranches or,                                                       Prix TTC : 42,00 €

PRIÈRES DES JOURS OUVRABLES : 5e édition remaniée 160 pages

Broché,                                                                                                                               Prix TTC : 5,30 €

À PARAITRE (Fin Mars 2013) :

PATAH ELIYAHOU FORMAT MOYEN. Édition remaniée

Cartonné :                                                                                                                         Prix TTC : 13,00 €

De Luxe : reliure similicuir Bleu, Brun ou Blanc : 3 tranches or,                                Prix TTC : 30,00 €

PATAH ELIYAHOU BILINGUE :

Reliure similicuir rouge, papier teinté ivoire                                                                 Prix TTC : 29,00 €

De Luxe, similicuir avec 3 tranches or, Brun et Blanc                                                 Prix TTC : 39,00 €

Toujours disponible : Reliure similicuir, papier blanc,                                                Prix TTC : 29,00 €

De Luxe, similicuir avec 3 tranches or, Bleu et Blanc,                                                Prix TTC : 39,00 €

PSAUMES – TEHILIM Volumes I et II :                                                                      Prix TTC : 27,45 €

PATAH ELIYAHOU GÉANT (Chalia’h Tsibbour).

Similicuir Brun ou Blanc. 1tranche or. (Disponible en Avril 2013.)

DICTIONNAIRE DE LA BIBLE HÉBRAIQUE :

Par le Rabbin Marchand Ennery 1 volume broché :                                                  Prix TTC : 15,00 €

LA PRIÈRE DU KADDICH :

Collection Le Rituel commenté. 1 volume cartonné. Rabats.                                   Prix TTC : 13,80 €

BIRKAT HAMAZON :

Collection Le Rituel commenté. 1 volume cartonné. Rabats.                                   Prix TTC :13,80 €

TOUJOURS DISPONIBLE : PATAH ELIYAHOU COURANT :

En huit versions de reliures de couleurs différentes : de 14,00 € à 19,50 €. (voir liste succincte de nos livres.)

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SALON DU LIVRE 2013 : Il aura lieu du 22 mars au 25 mars 2013. Notre maison expose avec les Éditeurs Religieux du Syndicat National de l’Édition. Stand n° S23.

« ALÉ HADAS » : Un nouveau siddour avec annotations en français. Édité par Rav David Settbon, auteur de livres sur les Minhaguim d’Afrique du Nord en général et de Tunisie en particulier, ce siddour, comme notre Patah Eliyahou, est fondé sur le Tefilat Hahodech. Lire l’extrait de la préface dans notre « PATAH ELIYAHOU-QUESTIONS/RÉPONSES » Livraison n° dans notre site internet.

AVIS AUX LIBRAIRES ISRAÉLIENS :

Désirant faire économiser à nos clients israéliens les frais de port prohibitifs France-Israël (cf notre Flash-Info Septembre 2012), nous cherchons des Libraires prêts à vendre en Israël tous nos titres aux mêmes prix hors taxes que ceux pratiqués à Paris. Pour cela, nous avons conçu une convention « LIBRAIRES PRIVILÉGIÉS ». Pour plus de détails, les Libraires intéressés peuvent nous contacter : Tél. : 01 47 70 59 00 ou e-mail : editionscolbo@sfr.fr

Prévue pour le 15 janvier 2013, LA TROISIÈME AUDIENCE AU BETH-DIN (C. A. R.) N’A PAS EU LIEU : Convoquée suite à notre plainte, l’équipe des Éditions Zmanim-Diffusion a refusé de s’y présenter et, contrairement à la halakha, n’a pas indiqué un autre Beth-Din devant lequel elle accepterait de se présenter !

Résumé : Depuis 2009, nous avons maille à partir avec les EDitions Zmanim-Diffusion : suite à notre plainte, le Beth-Din (C A. R.) lors de sa séance du 4 juin 09, a condamné cet éditeur :

  1. a) à verser 1 euro symbolique aux Éditions Colbo (à la demande du plaignant) pour copie illicite de pages du « Patah Eliyahou » dans les calendriers hébraïques vendus par Zmanim-Diffusion ;
  2. b) à ne plus reproduire ces pages dans les éditions à venir de leurs publications, sans autorisation des Éditions Colbo.
  3. c) à supprimer le titre « Siddour Patah Eliyahou » quand ils dénigrent les horaires de Rav Meir Pozen, par rapport à ceux de Rav Yitshaq Yossef. Et ce, dans toutes leurs publications, ainsi que sur leur site Internet.

Or, en mai 2011 nous nous apercevons que ces éditeurs n’ont pas exécuté intégralement la sentence du Beth-Din, et notamment dans leur site Internet !

Nous avons alors proposé une convention à l’amiable qui n’a finalement pas abouti car ils ont essayé, dans leur fourberie, de nous tendre un piège :ils voulaient ajouter à cette convention, la clause suivante :

« … Zmanim-Diffusion reste libre de ses choix de présentation et pagination… »

Le mot « pagination » a fait tilt dans notre esprit et nous avons flairé une supercherie. Nous rendant sur leur site, nos craintes s’avéraient confirmées : ils projetaient d’éditer un siddour : « Maguen Avot » et parmi les « qualités » de ce siddour, ils mentionnaient, entre autres : Pagination connue des écoles ! Nous avons compris que pour ce siddour, ils mijotaient peut-être de calquer servilement la pagination* du Patah Eliyahou, et d’autres « copillages » à l’avenant.

En septembre 2011, à la parution de leur siddour « Maguen Avot (siddour précis »(sic), nous avons découvert ce qui confirmait pleinement nos suppositions : 90 % des prières de leur siddour, débutaient aux mêmes pages de ces mêmes prières dans le Patah Eliyahou, quitte à porter violence à leur propre pagination. Mais ces messieurs n’ont pas peur du ridicule, pour faire croire au public que leur siddour n’est qu’une nouvelle version du « Patah Eliyahou » !

Pour plus de détails, vous pouvez vous référer à notre Flash-Info Décembre 2011, où nous avons sévèrement stigmatisé ce siddour « Maguen Avot (siddour précis) »,que nous avons qualifié de siddour « hybride » à cause des mélanges de versions de prières, de minhaguim, de fautes de halakha (*), et le reste à l’avenant. Une édition irresponsable prouvant malheureusement l’ignorance de l’auteur (*) de ce « Maguen Avot ».

Sur quoi, l’équipe Zmanim-Diffusion, nous poursuivit au Beth-Din (C. A. R.) pour : « diffamation et dénonciations calomnieuses à l’encontre du siddour Maguen Avot », en demandant pas moins de 50.000 euros de dommages et intérêts !

À ce sujet, l’audience du Beth-Din eut lieu le 10 mai 12 en présence de l’équipe de Zmanim-Diffusion représentée par MM. Patrice HAGEGE, Yehouda BENCHIMOL et David ATTAL et M. J. CHARBIT des Éditions Colbo.

Le Beth-Din nous ayant demandé de nous expliquer sur nos « diffamations », nous avons dit que sur 300 pages (sur plus de 600) de ce siddour, nous avons trouvé 200 fautes : incohérences, mélange irresponsable de textes et de minhaguim, faute de halakha, etc… Il nous a suffi d’en énumérer moins d’une dizaine pour que le Beth-Din tranche qu’il n’y a là aucune diffamation puisque les critiques étaient bien fondées.

Le Beth-Din repoussait ainsi « l’accusation de propos diffamatoires qu’avait demandé le plaignant ».

Il n’y qu’à voir comment les Éditions Zmanim –Diffusion présentent ce psaq-din, et le commentent (leur site), pour s’apercevoir comment ils transforment leur « défaite » en « victoire » !

Au cours de l’audience, les Dayanim n’ont pu avoir aucune explication plausible sur les erreurs impardonnables signalées par nous.

Par exemple, concernant la Bénédiction להניח תפילין pour les Téfiline du bras, qu’ils ont ainsi imprimée (page 10, édition août 2011et page 16, édition 2012) :

« On dira la bénédiction suivanteלהניח תפילין avant de nouer les Téfiline sur les doigts, mais après les avoir attachées au biceps… »

Vous avez bien compris : la bénédiction pour les Téfiline du bras ne se dira qu’après avoir mis les Téfiline de la tête !

Réponse de M. David ATTAL (Zmanim-Diffusion) : « Euh… il me semble que cette halakha a été copiée du siddour Yehavé Daat. ».

Nous défions quiconque de trouver cette énormité dans le siddour Yehavé Daat.

Il est déplorable de constater que l’équipe de Zmanim-Diffusion, sans corriger ce siddour, poursuit effrontément la promotion de ce siddour, en le bradant, en l’offrant gratuitement. Sur fond d’un grand battage médiatique, ils persistent à vanter le « travail merveilleux » de leur équipe, etc. dans un déferlement de courriels adressé à tour de bras à des centaines si ce n’est à des milliers d’adresses mails.

Ajoutons qu’à cette même séance du Beth-Din, un Dayan a demandé à M. David Attal :

« Vous qui mentionnez dans les premières pages de votre siddour que celui-ci est selon les enseignements de Rav Ovadia Yossef, Rav Yits’hak Yossef et Rav David Yossef, pourquoi ne figure pas dans votre siddour, une Approbation (Haskama) de l’un de ces Rabbanim ? »

Et M. David Attal de répondre : « Ces grands rabbins sont très occupés… Mais Rav Yits’hak Yossef qui a beaucoup apprécié notre siddour va nous adresser une approbation… »

Attendons !… Nous pouvons néanmoins témoigner qu’en Novembre 2011, trois mois après la parution de ce siddour, Rav Yits’hak Yossef nous dit qu’il n’était pas au courant de l’existence de ce siddour !…

Mais, nous nous arrêtons ici : s’il fallait analyser et critiquer ce que Zmanim-Diffusion écrivent toutes les semaines dans leur site, cela nécessiterait une brochure d’au moins 30 pages ! Et à quoi, cela servira-t-il ? Ils trouveront toujours mille manières fallacieuses de rebondir ! Et nous avons autre chose à faire qu’à entretenir des joutes épistolaires par forums interposés.

C’EST POURQUOI nous proposons à l’équipe de Zmanim-Diffusion un débat public où ils viendraient défendre leur position. Et nous démontrer que dans leurs mails ils sont de bonne foi quand nous les accusons d’y faire preuve de fourberie, de malveillance et de désinformation. Par exemple,

FLASH – INFOS. LES EDITIONS COLBO. Février 2013.                                         www.editionscolbo.com

  

                                 FLASH  INFOS  –   les éditions colboבס »ד             

                                                        Janvier 2013                      Tèvèt 5773

                                   LES EDITIONS   COLBO – 4, rue Sainte-Cécile 75009 PARIS – www.editionscolbo.com

           

                     RÉPONSE AUX PRÉDATEURS

Á PROPOS D’UN « AVERTISSEMENT » DIFFAMATOIRE CONTRE LE SIDDOUR   « PATAH ELIYAHOU »

DIFFUSÉ Á GRANDE ÉCHELLE PAR UNE BANDE DE VOYOUS

Vous êtes nombreux à nous appeler ou à nous adresser un courriel pour exprimer votre stupéfaction à la lecture d’un certain « Avertissement » contre notre siddour PATAH ELIYAHOU.

En fait, c’est avec un sourire amusé que nous aurions nous-mêmes accueilli cette « information tombée ce matin » si elle nous était parvenue un jour de Pourim ou un 1er Avril !…

Malheureusement, il s’agit là d’une initiative malveillante d’individus dont la malhonnêteté et la perversité n’ont d’égal que leur ignorance totale des minhaguim (usages) et nouss’haoth (versions des prières) de la communauté sefarade.

Les initiateurs de cette diffamation font partie de ces pseudo-‘harèdim qui, se rendant à la synagogue 3 fois par jour, tsitsioth dehors, parés de tous les signes extérieurs de ‘harèdim, sont capables de violences « au nom de la Tora » ! (On les appelle communément « ‘HAYOT HAQODECH ».)

Pour eux, le siddour est un « produit », au lieu d’être un objet sacré. L’essentiel, pour eux, quand ils sont commerçants, c’est de pouvoir « casser du concurrent » ! Des « Marchands du Temple » en quelque sorte !

Pour communiquer leur « Avertissement » vénimeux, ces voyous, au lieu d’agir à visage découvert, agissent masqués, tout en inondant ANONYMEMENT des réseaux sociaux de leurs mensonges.

« Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose ! » Telle est leur devise.

Internet, Facebook, Forums : nous ne naviguons pas dans ces eaux, surtout quand elles sont si nauséabondes !

C’est pourquoi, face à leurs ATTAQUES PERNICIEUSES, nous opposerons un silence de mépris. Nous nous refusons de jouer leur jeu en descendant dans l’arène en compagnie de ces malfrats.

Néanmoins, pour ceux d’entre vous qui voudraient quand même savoir quoi opposer à leurs arguments fallacieux exprimés contre des soi-disant « erreurs » dans le PATAH ELIYAHOU, nous vous convions à visiter notre Site Internet www.editionscolbo.com en cliquant sur : INFOS, Patah Eliyahou – Questions/Réponses, Livraison n° 3 de Janvier 2013 – Tèvèt 5773. Vous y trouverez nos répliques précises et étayées, à chaque détail de leurs attaques. (Cette rubrique sera installée prochainement sur notre site.)

Ainsi, concernant cette affaire, nous nous tiendrons au cadre strict de notre Site Internet, au service de nos partenaires habituels qui ont foi en notre honnêteté intellectuelle. De plus, nous répondrons volontiers à toutes les questions que vous nous poserez au sujet des minhaguim et nouss’haoth figurant dans le PATAH ELIYAHOU.

Heureusement, beaucoup d’entre vous ont flairé la supercherie. Néanmoins, nous vous demandons de bien vouloir vous abstenir de réagir dans le cadre de Facebook ou autres réseaux similaires, mais uniquement par courriels personnels.

שפת אמת תכון לעד ועד ארגיעה לשון שקר                                                                 La vérité est éternelle ; le mensonge dure un clin d’œil. (Prov. 12, 19.)

                                                                                   Cordialement,

  1.             Charbit

09Janvier 2013. Dernière minute.

Des messages de sympathie et de soutien que nous avons reçus en réaction à l’ « Avertissement » diffamatoire de cette semaine, nous tenons à reproduire ci-dessous, avec son autorisation, le courriel reçu du Dr Simon Darmon, auteur, notamment, de l’ouvrage LE LIVRE DE NOS COUTUMES (Jérusalem, 1995) :

  1. Charbit, bonsoir,

Je viens de recevoir « l’avertissement » en question et voici la réponse que j’ai envoyée à tout le monde :

Bonsoir à vous tous,

Je suis horrifié de lire ce que je lis dans cet « avertissement ». Et voici ma réponse :

1° Le Patah Eliyahou est plus juste que tous les Sidourim imprimés en Israël. Le noussah de la prière des Juifs sefarades est différent de celui des communautés dites « Adot Hamizrah » ; et ce ne sont pas elles qui vont nous apprendre à prier juste.

2° Le nom de D.ieu inspiré par les Cabbalistes n’est pas exact, et procède d’un bourrage de crâne incité par des extrémistes. Le problème aujourd’hui est que l’on fait face à un extrémisme en matière de religion qui me rappelle singulièrement l’endoctrinement des ayatolas.

3° Depuis toujours, les Sefaradim (les vrais), ceux originaires d’Espagne, du Portugal, d’Italie et ceux venus s’installer dans les 3 pays d’Afrique du Nord, ont toujours récité « Minim » et pas « Zédim ». Et ce n’est pas les étrangers à notre rite millénaire qui vont nous faire la leçon.

4° Je reconnais que dans le Sidour Patah Eliyahou, il y a des erreurs, comme le « yehi chem » qui suit la Amida Arvit de tous les jours. Pourquoi le dire ? Parce qu’à Bagdad ils le disaient ? Non. Mille fois non !

5° Selon notre rite, il faut dire « seraf » et non « cheraf ».

6° Il est des poskim que nous ne connaissons pas ; doit-on les écouter au détriment de nos propres Rabbanim-Poskim ?

7° Et enfin, si on me demandait de suggérer de mettre à la Gueniza des Sidourim, je mettrai tous les Sidourim des soi-disant Sefaradim qui sont actuellement imprimés en Israël. Quelle ‘houtspa’ (culot) de prétendre que ceux-là sont les représentants du Bon D.ieu sur terre et condamner tous ceux qui ne pensent pas ou ne prient pas comme eux !

8° Le Ari-zal a écrit qu’il ne faut pas réciter le psaume 103 « Ledavid barekhi nafchi ét Hachem » à Roch Hodech, le Chabbat et les jours de fête ; est-ce que les vrais Sefaradim ne le disent pas ? Mais oui, nous le disons ; mais oui qu’il faut le dire ! Il figure aussi dans le Mahzor des Algérois selon Ribach et Rachbats

!

Dr Simon Darmon

Chercheur des Rabbanim espagnols et italiens (de Livourne) venus s’installer en Algérie, auteur de plusieurs livres faisant référence sur le sujet, ayant fait imprimer de nombreux Sidourim pour les Sefaradim d’Afrique du Nord par des maisons d’éditions sérieuses et fiables.

 

FLASH – INFOS. LES EDITIONS COLBO. Janvier 2013.                                         www.editionscolbo.com

 

 

  

                             FLASH  INFOS  –   les éditions colboבס »ד             

                                                Septembre 2012                    Eloul 5772

                                 LES EDITIONS   COLBO – 4, rue Sainte-Cécile 75009 PARIS – www.editionscolbo.com

                                                       
                           LES NOUVELLES

(1er avril 12) AUGMENTATION DE LA T. V. A. SUR LE LIVRE

A partir du 1er avril 2012, le taux de la T. V. A. passe à 7 %. L’ancien taux était de 5,5 %. Une nouvelle liste de prix de nos titres est téléchargeable en cliquant sur : www.editionscolbo.com. Sur demande, cette liste peut vous être adressée par courrier postal.

(9 mai 12)

CE N’ÉTAIT PAS UNE DIFFAMATION !

Ainsi a tranché le Beth-Din.

Historique : Suite à la parution d’un nouveau siddour sur le marché, en septembre 2011, nous avions pris l’initiative d’en critiquer un certain nombre de passages, constitués d’amalgames de différentes traditions, n’hésitant pas à qualifier ce rituel d’ « hybride » et de « non-siddour ». Notre prise de position a conduit l’éditeur à poursuivre le directeur des Éditions Colbo pour « diffamation », et à réclamer la somme de 50 000 euros de dommages et intérêts.

Après avoir entendu les deux parties, le 09 mai 2012, le Beth-Din de Paris (Chambre arbitraire rabbinique), a débouté le plaignant. La sentence intégrale du jugement peut être consultée en page 5 du présent Flash-Info (en hébreu) et en page 6 (en français).

(2 juillet 12) LA LIBRAIRIE « COLBO »

DÉMÉNAGE DE LA RUE RICHER !

C’est avec regret que nous avons appris que la librairie « Colbo », installée depuis cinquante ans au 3, rue Richer, fermait définitivement ses portes pour s’installer dans un autre quartier de Paris.

En 1962 en effet, les frères Joseph et Henri (z. l.) Charbit avaient fondé la « Librairie Colbo », première boutique de Paris qui se distinguait par la diversité des livres de kodesh et autres ouvrages de judaïca en français et en anglais. Les domaines représentés étaient nombreux : Littérature biblique et rabbinique, pensée juive, philosophie, art, littérature classique et moderne, histoire, dictionnaires et manuels d’apprentissage de la langue hébraïque. La librairie proposait également à ses clients des articles de culte, y compris des loulavim – qui dans les années soixante et soixante-dix, étaient rarissimes en France – sans oublier les minuteries électriques pour chabbat. C’est aussi au sein de cette boutique que fut installé un laboratoire pour vérification de vêtements et détection du cha’atnez, à l’initiative d’Henri Charbit (z. l.), formé à cette tâche par le regretté Rav J. Poultorak (z. l.).

Durant plus de trois décennies, la « Librairie Colbo » a tenté de satisfaire les demandes les plus variées de sa clientèle, acquérant une notoriété exceptionnelle, tant au sein de la communauté juive française, que des communautés juives de diaspora.

En 1995, les frères Charbit durent céder le fonds de commerce de leur librairie à la société Sifriyati, qui continue de gérer le sigle « Colbo » pour la vente des livres et articles de culte. Ils ont néanmoins conservé leur activité d’édition, entamée en 1966, avec la publication, pour la première fois en format de poche, de la Traduction de la Bible du Rabbinat ou encore le rituel de prières, Patah Eliyahou, devenu désormais une référence, dès sa première édition en 1978. Cet ouvrage, demeure à ce jour, l’une des meilleures ventes du livre juif en France[1].

(30 juillet 2012) LE « PATAH » NOUVEAU EST ARRIVÉ !

La réédition 2012 du « Patah Eliyahou » courant se présente sous ses huit versions adoptées depuis peu :

Code : 151/12 Rouge, papier blanc                                     Prix promotionnel : 14,20 euros

Code : 900/12 Bleu, papier blanc                                           Prix promotionnel : 14,20 euros

Code : 901/12 Bordeaux, papier ivoire                                                         Prix : 16,25 euros

Code : 902/12 Vert, papier ivoire                                                                    Prix : 16,25 euros

Code : 903/12 Or métallisé, papier ivoire                                                       Prix : 19,80 euros

Code : 904/12 Argent métallisé, papier blanc                                                  Prix : 19,80 euros

Code : 906/12 Blanc, titre Argent, papier blanc                                             Prix : 17,75 euros

Code : 907/12 Blanc, titre Or, papier blanc                                                   Prix : 17,75 euros

Nous vous rappelons que depuis juillet 2008, les Editions Colbo ont fermé leur magasin de vente au public, sis à la rue Saulnier. Nos publications se trouvent dans les librairies spécialisées et aussi dans quelques Librairie générales en France, Belgique, Suisse, Canada. (Liste disponible, sur notre site : www.editionscolbo.com)

(septembre 12) PROCHAINES RÉÉDITIONS

Les livres suivants qui étaient en rupture de stock sont actuellement sous presse :

  • Code : 074/12 Birkat Hamazon (Le Rituel commenté).
  • Code : 073/12 La Prière du Kaddich,(Le Rituel commenté). Déjà paru.
  • Code : 134/12 Prières des jours ouvrables. Edition remaniée d’après le Patah Eliyahou 2012. 160 pages.
  • Code : 140/12 Dictionnaire de la Bible hébraïque.
  • Code : 214/12 Patah Eliyahou Bilingue. Couverture rouge, papier ivoire, sera disponible vers le mois d’octobre. La version en couverture bleue, papier blanc, est toujours disponible. Code : 213/12.
  • Code : 196/12 Patah Eliyahou Phonétique De Luxe : sera à nouveau disponible en octobre, ainsi que la version ordinaire, épuisée depuis peu.

(septembre 12) NOUVELLES ÉDITIONS

Les titres suivants dont la fabrication a été stoppée pour des raisons indépendantes de notre volonté (notre Flash-Info du 05/02/10) sont « remis sur le métier » et paraîtront, nous l’espérons, dans quelques mois :

PATAH ELIYAHOU « TRIPLE » :

Texte hébreu en regard de sa traduction française ainsi que de sa translittération (Phonétique).

PSAUMES TEHILIM volume IV (Collection »La Bible commentée »)

  (septembre 12) UNE BONNE NOUVELLE

POUR NOS CLIENTS ISRAELIENS

Les clients israéliens qui désiraient acquérir nos publications, se trouvaient confrontés à des frais d’expédition prohibitifs. Afin de pallier cette difficulté, nous avions alors conclu, un accord de partenariat, avec les Éditions Felhdeim de Jérusalem, qui s’étaient chargées, dans un premier temps, d’assurer, sur place, l’impression de l’édition « courante » du Siddour Patah Eliyahou. Les clients pouvaient ainsi se procurer le rituel, pratiquement au même prix en vigueur à Paris. Dans un souci de satisfaire encore plus nos clients, nous avons par la suite, élargi cet accord, à d’autres concessionnaires. Aussi, toute librairie d’Israël qui signera une convention avec nos éditions, pourra désormais revendre les différents ouvrages de notre catalogue au prix français (hors taxes).

(octobre 12) PATAH ELIYAHOU – QUESTIONS / RÉPONSES

Nombreux sont les fidèles qui n’hésitent pas à nous contacter pour poser des questions sur certaines versions de textes du Patah Eliyahou qui présentent, en certains endroits, des différences ou variantes, avec celles figurant dans d’autres siddourim, destinés, eux aussi, aux « communautés sépharades ».

Face à la profusion de rituels (publiés après le Patah Eliyahou à l’adresse du public sépharade de France) et qui, bien souvent, font abstraction, ou tout simplement ignorent, le minhag et les rites sépharades proprement dits, nous avons pris l’initiative d’insérer dans notre Flash/Info une rubrique Questions/Réponses, destinée à répondre aux interrogations des fidèles. Cette rubrique, régulièrement mise à jour, sera accompagnée d’un paragraphe Toqef Haminhag « La vigueur du rite » qui se proposera d’expliquer l’origine des coutumes liturgiques, spécifiques aux communautés d’Afrique du Nord.

                                                         Avec nos souhaits de Ketiva va’hatima Tova,

  1. Charbit

 

 

[1]  On nous a souvent demandé les raisons du succès du « Patah Eliyahou ». A notre avis, quatre raisons peuvent expliquer un tel succès :

  1. Durant de nombreuses années, le Patah Eliyahou a été le seul siddour sefarade dans lequel figuraient des instructions et notes en français qui permettaient à de nombreux fidèles de mieux se repérer dans le déroulement des prières.
  2. Contrairement aux siddourim qui l’ont précédé, le Patah Eliyahou s’illustre par une « typographie didactique »: clarté des caractères, mise en page recherchée et repères pratiques.
  3. Le prix à la vente de ce rituel demeure modique et même le plus bas du marché en France. A titre d’exemple, rappelons qu’un livre broché de 300 pages, d’ordinaire, ne coûte pas moins de 15 euros. Le prix du « Patah Eliyahou », 700 pages, relié simili cuir, avec jaquette de protection, coûte aujourd’hui 14,20 euros dans ses premiers prix !
  4. Originaires pour une grande majorité d’entre eux d’Afrique du Nord, les fidèles séfarades retrouvaient dans le Patah Eliyahou, le noussah ou version des prières en usage dans leurs pays d’origine ainsi que les minhaguim (coutumes) spécifiques à ceux-ci. Comme nous le signalons en page de garde du Patah Eliyahou, ce rituel est fortement inspiré du Tefilat Hahodesh, édité à de nombreuses reprises à Livourne (Italie) et usité par la plupart des communautés séfarades du Bassin méditerranéen (voir les Haskamot « approbation » accordées à l’édition du Patah Eliyahou par les sommités rabbiniques : Rav Shlomo Moshe Amar chlita, grand rabbin d’Israël ; Rav Yossef Haïm Sitruk chlita, ancien grand rabbin de France ; Rav Aron Monsonégo chlita, grand rabbin du Maroc ; Rav David Sabbah chlita, grand rabbin du Québec ; Rav Yehochoua Mamane chlita, membre du Beth-Din Hagadol, de Jérusalem.) Lire également Alé Hadass de Rav David Scetbon chlita, pages 25 -26. Pour prendre connaissance de ces approbations, cliquez sur : www.editionscolbo.com

Il convient de signaler que le rite SEFARADE d’Afrique du Nord présente des différences notoires avec celui en usage dans les communautés du Moyen-Orient dites ADOTH HAMIZRA’H. Aujourd’hui, une confusion totale s’est établie en Israël et l’ensemble des communautés originaires de pays arabes sont dénommées « ADOTH HAMIZRA’H ». Il est d’ailleurs regrettable de constater que de nombreuses versions de siddourim, diffusées sur le marché français, à l’attention des Séfarades locaux correspondent plutôt au rite des Communautés d’Orient et pas forcément à celui d’Afrique du Nord. Les éditeurs ont, sans aucun doute, cédé à la facilité commerciale, puisque les disquettes informatisées du « Siddour séfarade » en provenance d’Israël reflètent plutôt le rite des communautés d’Orient.

Selon la halakha, tout fidèle a le devoir impératif de prier selon le rite de sa communauté d’origine. Lors des offices, il lui incombe donc de s’assurer que le siddour qu’il tient en main, reflète bien le rite de ses parents et grands-parents.

On ne badine pas avec le Minhag !


                               FLASH  INFOS  –   les éditions colboבס »ד                                                                    Décembre 2011                   Kislev 5772

                               LES EDITIONS   COLBO – 4, rue Sainte-Cécile 75009 PARIS – www.editionscolbo.com

            

                               QUATRIEME ACTE HOSTILE

               CONTRE NOTRE SIDDOUR « PATAH ELIYAHOU »

   (Cf Flash Infos – Février 2011 sur notre site : www.editionscolbo.com)

Tout récemment (Septembre 2011), sur fond de grand battage médiatique[1], les Editions Zmanim Diffusion (Alfortville), “association à but non lucratif” ont annoncé la parution d’un nouveau livre de prières : SIDDOUR « MAGUEN AVOT » : Texte hébreu, avec annotations et instructions en français.

Un « nouveau-né » qui entre dans la ronde des siddourim. Pourquoi pas ? La concurrence est libre et même bénéfique : « Kin-at Sofrim Tarbé Hokhma » !

PAGINATION

Cependant, alertés par des libraires à qui le distributeur a fait ainsi l’article : « un nouveau siddour qui remplacerait le siddour « Patah Eliyahou »[2], nous nous sommes procuré ce Siddour. Et qu’y découvrons-nous en premier lieu ? Ces éditeurs ont tenté et réussi le tour de force d’y présenter, pour chacune des prières, la même pagination que celle du « PATAH ELIYAHOU », quitte à faire violence à leur propre pagination[3] :  ils vont jusqu’à numéroter les pages en y ajoutant des « décimales » si besoin est, de manière à toujours suivre scrupuleusement la pagination du « Patah Eliyahou ».

Leur argument pour cette initiative, qu’ils motivent avec une candeur empruntée : « Nous n’avons pas pensé à mal en faisant coïncider la pagination des deux siddourim. C’est uniquement pour ne pas déstabiliser les usagers du « Patah Eliyahou » qui en connaissent parfaitement la pagination. » Ils ne semblent même pas réaliser que par cette argumentation, ils avouent avoir ciblé particulièrement les fidèles du « Patah Eliyahou » !

Et, à ce propos, le distributeur de ce siddour « Maguen Avot », d’ajouter sans complexe : « Renseignements recueillis auprès de juristes, les Editions Colbo ne peuvent rien, sur le plan juridique, contre l’éditeur du « Maguen Avot » pour ce problème de pagination ».[4]

UNE INNOVATION IMPARDONNABLE : MIXTURE DE RITES

Intrigués, nous avons visité ce Siddour « Maguen Avot » en pratiquant un survol rapide, et nous avons pu constater les anomalies suivantes qui ne sont sûrement pas exhaustives :

1) Sur la page de titre, ces éditeurs mentionnent :

                           Siddour précis (sic)

                           « Maguen Avot »

                  Rites sefarades et orientaux

Nous tenons à préciser qu’aucun siddour ne peut servir à l’usage à la fois, et des Sefarades (originaires d’AFN : Tunisie, Algérie, Maroc… : « Maghreb ») et des Orientaux (originaires de Syrie, Iraq… : « Edoth Hamizrah »), sauf si le texte du siddour est présenté en 2 colonnes : dans l’une, le texte complet du rituel sefarade et dans l’autre le texte complet du rituel oriental afin que chacun prie selon son rite propre.

En effet, ces deux rites présentent des différences notoires : non seulement pour certains mots, certaines propositions, mais aussi pour des paragraphes entiers ! Ne parlons pas des halakhot et minhaguim !

Or, dans ce siddour « Maguen Avot », il y a des textes empruntés exclu-sivement au rite Sefarade (par exemple Kadich Al Israël) et des textes exclusivement empruntés au rite oriental (la quasi-totalité de ce siddour et qui n’a rien à voir avec le rite sefarade de Tefilat Hahodeche utilisé en Afrique du Nord). Information capitale occultée par l’éditeur,[5] qui d’ailleurs semble ignorer le sujet !

MISE EN GARDE : Nous nous demandons si sur le plan halakhique, il est permis de mettre ce livre en circulation qui, pour la première fois, mélange le texte des deux rites : tout comme si un éditeur publiait un siddour dont une partie est fondée sur le rite achkenaze, et l’autre fondée sur le rite « Sfard » (hassidique) !

Comment ces individus peuvent-ils s’arroger le droit d’innover et d’imposer aux communautés sefarades de France un nouveau minhag : « mixture » de rite sefarade et rite oriental ? DU JAMAIS VU !

Quel Rav ont-ils consulté pour inventer un nouveau « noussa’h » ?

Nul n’ignore qu’on ne badine pas avec le Minhag et qu’il faut, surtout dans les prières, conserver scrupuleusement le Minhag de nos Anciens.

COPILLAGE (copie + pillage)

2) Lors de ce survol rapide, nous constatons aussi que les titres en français      des prières sont identiques à ceux du « Patah Eliyahou » à l’intérieur du livre et jusqu’aux titres courants, en haut de pages.

Les sous-titres marginaux sont souvent empruntés au « Patah Eliyahou ».

3) Sans parler de la composition typographique inédite jusque là, copiée intégralement du Kaddiche dans le « Patah Eliyahou », nous avons découvert notamment 10 pages (pages 491 à 498) intégralement recopiées ligne par ligne et mot par mot, des pages 513 à 524 du « Patah Eliyahou » élaborées à l’origine par les Editions Colbo, spécialement pour leur siddour.

4) Les annotations et instructions en français sont très souvent empruntées à celles du « Patah Eliyahou », mais très habilement : paraphrasées ou inversées dans la présentation, quand elles ne sont pas reproduites à l’identique !

     RECIDIVISTES

Décidément, leur condamnation par le Beth-Din, à notre demande, pour copie illicite de notre siddour sur leurs calendriers (Psaq du 4 juin 09), ne semble pas leur avoir servi de leçon !

Tout ce « COPILLAGE » vise à ne pas « dépayser » les usagers du « Patah Eliyahou » qu’ils ont ciblés. Merci !

Ces messieurs devraient savoir qu’on ne s’improvise pas éditeur juif religieux. Ils auraient dû faire appel à des compétences pour superviser leur travail. Ils auraient ainsi évité d’énoncer des halakhot et des minhaguim propres aux « Edoth Hamizrah » (Orient) souvent différents de ceux pratiqués depuis des lustres par les originaires d’Algérie, Tunisie et Maroc qui composent totalement les communautés sefarades de France et auxquels ce siddour est spécialement destiné[6] !

Ainsi, on rencontre des coquilles malencontreuses (page 3.1, 4e ligne) ; des phrases dont la moitié renvoie au rite oriental et la moitié au rite sefarade (page 30, 111, etc.) !

Siddour « Maguen Avot » : Est-il certain que ces « Avot » sont satisfaits de ce livre, à eux dédicacé ?…

A l’orée de cette année 5772, nous osons espérer une année fructueuse pour tout le Klal Israël, nos concurrents (loyaux) y compris, une année durant laquelle nous verrons les éditeurs mettre un point d’honneur à agir désormais comme des éditeurs sérieux, responsables, respectueux de leurs confrères et craignant le Ciel, Amen !

Puissent-ils être toujours inspirés pour CREER en INNOVANT et sans se croire obligés de « copiller » les œuvres d’autrui !

  1. CHARBIT

[1] Moult publicités, grand mailing de prospectus et … cadeaux de plusieurs exemplaires de ce siddour dans des synagogues…

[2] Deux libraires consultés nous ont confirmé que des clients se présentent « pour acheter « le Siddour Maguen Avot » qui remplace le siddour « Patah Eliyahou » ». Allez savoir d’où ces clients ont tiré cette information !

[3] Ces éditeurs peu scrupuleux sont pour nous des récidivistes qui se sont promis, depuis quelques années, de porter ombrage à notre Siddour. De véritables détracteurs du « Patah Eliyahou » ! Allez savoir pourquoi ! (Cf, sur notre site www.editionscolbo.com, Flash Infos Février 2011 : Acte Premier. Un litige qui n’est pas encore complètement réglé à ce jour.)

[4] Parce que, pour ces messieurs, le principal – n’est-ce pas ? – est de ne pas tomber dans les filets d’une juridiction quelconque. Tandis que le fait d’écorcher en passant, un confrère (qui du reste ne leur a fait aucun mal) pour lui faire ombrage, ne semble aucunement interpeller leur conscience. Le seul fait d’avoir consulté un juriste à ce sujet, ne prouve-t-il pas qu’ils sont conscients que cette manœuvre est un méfait ?!

 [5] Il faut savoir qu’actuellement, pour un siddour avec annotations en français, seul le « Patah Eliyahou » présente un texte très fidèle exclusivement à l’usage sefarade (origine : AFN) comme l’ancien siddour Tefilat Hahodèche (Livourne). (Cf. « Alé Hadass », de Rav David Settbon, pages 24 et suivantes.)

 [6] Une simple consultation des Rabbins sur le terrain, responsables de ces communautés, les aurait éclairés judicieusement ! A lire sur la page de titre de ce siddour Maguen Avot : « …selon les enseignements de notre maître Rav Ovadia Yossef Chalita… Rav Yitshaq Yossef Chalita et Rav David Yossef Chalita », on est porté à croire que pour cette publication, ces éditeurs ont reçu l’assentiment de ces personnalités respectables. Malheureusement, il n’en est rien ! Ce siddour Maguen Avot a été montré à Rav Yitshaq Yossef Chelita, en novembre 2011, qui a dit n’avoir pas du tout été avisé de l’édition de ce siddour ! Du reste, quelle autorité rabbinique digne de ce nom, donnerait sa caution à une telle œuvre HYBRIDE ?! En fait, à notre humble avis : un NON-SIDDOUR !


                           FLASH   INFOS  –   les éditions colboבס »ד                                                    Année 2010                

                                    LES EDITIONS   COLBO – 4, rue Sainte-Cécile 75009 PARIS – www.editionscolbo.com

                                         Le Sidour  » PATAH ELIYAHOU « 

victime de trois actes

de malveillance !

 

Au fil des éditions, notre rituel le « PATAH ELIYAHOU » s’est imposé dans l’espace francophone comme le livre de référence. Sans doute victime de son succès, par trois fois il a été attaqué :

ACTE PREMIER – Une association, éditrice de calendriers hébraïques (Zemanim-Diffusion), se fondant sur un écrit de Rav Yitshaq YOSSEF chlita, s’est permis de dénigrer les horaires de prières figurant dans le « PATAH ELIYAHOU ». Fondés sur les travaux de Rav Meir Posen chlita, ils sont en usage depuis des décennies(1) et pourtant, nos contestataires écrivent dans leur calendrier 5769 :

 » Concernant le temps des prières en France, le Rav Posen a conçu un calendrier (n.d.t. : tableaux du Patah Eliyahou) d’après les coutumes achkénazes… En conséquence ils sont nombreux à fauter en prononçant des bénédictions en vain sur les talith, téfilin et les brakhotes de la tefila…. « 

Le Beth-Din (C.A.R, Paris), ayant été saisi par nous, a enjoint à cet éditeur de ne plus citer négativement le « PATAH ELIYAHOU » dans son calendrier. Ce jugement a d’ailleurs été approuvé par le Rav Yitshaq YOSSEF, chlita, dans une conversation téléphonique avec les membres de ce Beth-Din, le jour même de cet arrêt.

En outre, le Beth-Din de Paris (le Grand Rabbin David Messas chlita, Rav Yirmeyahou Hacohen chlita et Rav Michel Gugenheim chlita) a pris l’initiative de trancher en la matière, en publiant une Approbation (Haskama) dans laquelle il est notamment stipulé :

 » Nous, membres du Beth-Din de Paris, donnons notre entière approbation aux tables d’horaires figurant dans le Sidour Patah Eliyahou, édité par les Editions Colbo, Paris, selon les tables horaires de l’ouvrage « Or Meir » du Rav Meir Posen, chlita.

              …………………………………………………………………………………………………….

« Ces horaires correspondent en tous points aux enseignements de nos maîtres, contenus dans le Talmud et le Choul’han Aroukh, tout en étant parfaitements adaptés a la topographie de nos villes en France… »

Désormais, cette Approbation figure dans son intégralité à la dernière page des horaires du « Patah Eliyahou » : page 607.

En toute sérénité, vous pouvez donc désormais, comme auparavant, vous fier aux horaires du « PATAH ELIYAHOU » !

__________

(1)     (Il est à noter que c’est sur les avis positifs du Rabbin Elie Munk z.ts.l. et ensuite du Grand Rabbin Rahamim Naouri z.ts.l. que nous avons introduit les horaires du Rav Posen chlita dès la première édition en 1978).

 

 

ACTE II – La deuxième initiative malveillante émane d’un conférencier   (D. Men) qui, à Natanya, Paris, Montréal, etc., a critiqué notre manière originale de présenter (en haut des pages, sur le titre courant) les « kawanote » préconisées par le Choulhane Aroukh (Chap.5), lorsqu’on prononce, dans les Bénédictions, le Tétragramme et ELO-HIM(1)

Ce conférencier soutient que notre manière typographique de présenter les « kawanote » est irrespectueuse et équivaut (hass vechalom) à un blasphème ! Il soutient que par conséquent il est interdit de prier dans le « PATAH ELIYAHOU » et qu’il faut même condamner ce sidour à la « gueniza » !

Ce personnage, avant de se lancer dans sa diatribe contre le « PATAH ELIYAHOU », que n’est-il venu nous en faire part !

Nous lui aurions alors raconté  la « petite histoire » de ces « logos » : Nous-mêmes, en recevant de notre graphiste l’épreuve de ces « logos », nous avons été pris d’un doute sur cette manière de présenter ces « kawanote ». Nous avions alors consulté notre Rav, Rabbi Abraham ABRAHAM chlita de Jérusalem, qui nous a fait savoir qu’ils ne posaient aucun probléme !

Par la suite, ayant eu vent des interventions virulentes de ce conférencier, nous nous sommes adressés au Richone Letsione Rav Bakshi-Doron chlita, qui, dans son attestation, (dont nous pouvons vous adresser la copie, sur demande) écrit notamment :

ואין בזה לא מחיקה, ולא כתב על גבי כתב, אלא צילום של ה’ ככתיבתו ומעליו מבלי למחוק הכתוב לצורך הכוונה, ואם כי אפשר שנראה הדבר למאן דהוא ככתב על גבי כתב ודאי שאין  מקום לגנוז הסידורים ומותר להשתמש בהם ולכוון בתפילה דרך התבונות השמות,

« Il n’y a ici ni effacement ni écriture sur un mot préalablement écrit mais la photographie du Nom de HACHEM écrit et par-dessus, sans l’effacer, est écrite la « kawana » nécessaire… A coup sûr, il n’y a pas lieu d’enterrer un tel rituel ; il est parfaitement permis de l’utiliser et il convient de penser, lorsque l’on prie, aux  « kawanote »  des Noms. »

Rav Dan Charbit chlita est allé jusqu’à montrer le « PATAH ELIYAHOU » a Rav Haïm Kaniewski chlita à propos des « logos ». Après avoir scruté ces « logos », sa réponse fut catégorique : « Je ne vois là aucun problème. »

Entre-temps, pour des raisons techniques, nous avons dû scanner toutes les pages du « Patah Eliyahou » qui, à l’origine, n’avaient pas été composées à l’ordinateur. Or, scanner une surface tramée (grisée) est complexe et coûteux. Nous avons donc dû renoncer aux Noms tramés et nous avons même, dans de nouveaux « logos » provisoires, ajouté quelques « kawanote » des Cabbalistes.

L’amusant dans cette affaire qui n’est pas drôle, c’est que ce conférencier, en constatant la suppression de  ces Noms tramés dans les nouvelles réimpressions, risque de s’imaginer que c’est à cause de ses interventions que nous avons modifié (« à sa satisfaction ») ces « logos » qui le dérangeaient !

Au demeurant, ce qui est plus préoccupant, c’est de savoir comment cet homme pourra faire Techouva du tort qu’il nous a fait et du préjudice qu’il nous a causé, et qu’il convient d’appeler « chem ra’ ».

Conclusion : vous pouvez donc continuer sereinement à vous servir de votre « PATAH ELIYAHOU » !

__________

 (1) En résumé, ces » kawanote » sont des phrases présentées en haut de pages en forme de « logo ». A l’intérieur du Tétragramme en gros caractères tramés (grisés), la « kawana » est : « Maître du Monde, a été, est et sera, c’est-  à-dire Eternel », et pour ELO-HIM : « Puissant, actif et omnipotent ». C’est à ces significations que l’on doit penser au moment où l’on prie.

 

 

ACTE III – CONCURRENCE DELOYALE ! – Nous nous souvenons des faux LACOSTE, des faux LANCEL et des faux MERCIER ; ils avaient du moins la pudeur d’être contrefaits hors de l’Hexagone. Voici qu’un éditeur peu scrupuleux a mis sur le marché français, ces dernières anneés, un faux « PATAH ELIYAHOU » intitulé «KOL HANECHAMA ».

Le Sidour « Kol Hanechama », surtout dans sa seconde édition (2003 et années suivantes) nous paraît constituer un plagiat de notre sidour « PATAH ELIYAHOU ». Si vous partagez notre avis et jugez comme nous, après avoir comparé les deux ouvrages(1), que la contrefaçon est avérée, nous attirons votre attention sur le fait que prier dans un sidour contrefait, constitue une ‘Avèra(2).

      (Je trouve d’ailleurs que le titre choisi : « Kol Hanechama » : « Toute âme… « , par antiphrase, correspond à la situation de fond en comble : cette âme est troublée d’avoir plagié son prochain et de l’avoir spolié de ses droits de propriété littéraire.)

Nous tenons à remercier ici tous ceux qui n’ont pas été dupes : les libraires qui ont refusé de vendre ce sidour frauduleux ; les administrateurs de synagogues qui ont rejeté un tel cadeau, et les clients particuliers qui ont su déceler la supercherie.

 

Pour notre part, nous n’accordons aucune indulgence à cet éditeur, ni à ceux qui l’aident à diffuser ce Sidour-pirate.

 

Merci à vous tous, qui restez fidèles à notre « Patah Eliyahou »et qui, en refusant d’acquérir ce sidour « Kol Hanechama », donnez à cet éditeur malhonnête la leçon qu’il mérite.

Pour les Editions Colbo,

J.E. CHARBIT

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1.Nous pouvons vous adresser, à titre d’exemple, copie d’un tableau comparatif de 6 pages : de la première édition (2002) de « Kol Hanechama » avec ces mêmes pages de sa seconde édition (2003 et années suivantes), ainsi que les 6 pages correspondantes du « Patah Eliyahou ». Vous pourrez ainsi constater que sa deuxième édition prête à confusion dans l’esprit de chacun, à savoir qu’il s’agit là d’une version nouvelle du « Patah Eliyahou ! L’éditeur a même éte jusqu’à supprimer 70 pages de sa première édition pour semer la confusion !

 

2.Rav M. Hamou chlita, de la communauté Mekor Haïm, Paris, que nous avons consulté â ce sujet, nous apporte son appui par une attestation dans laquelle il écrit notamment que « tout usage de ce « Kol Hanechama » est une mitsva Habba-a ba’avèra : une réalisation du service divin par infraction ». Une copie de cette attestation peut vous être adressée sur demande.